Jusqu'où ils vont nous EMMERDER : Le scandale des WC sur une barque !
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L'État impose l'installation de WC sur les petits bateaux ostréicoles. Une norme absurde ? Non, un plan méthodique pour couler les derniers artisans de la mer. On vous explique le scandale.
Dans cette vidéo, nous plongeons dans l'absurdité administrative qui frappe la conchyliculture française. L'administration exige désormais des toilettes et lavabos sur des chalands de moins de 10 mètres, des bateaux de travail plats, ouverts aux éléments, qui ne sortent que quelques heures.
Derrière le prétexte de "l'hygiène" et du "confort" (transposition d'une directive européenne), se cache une réalité mortelle :
Un coût exorbitant : Jusqu'à 15 000 € par bateau, un coup de fusil pour des artisans déjà fragilisés.
Un danger mortel : L'ajout d'une cabine déséquilibre ces bateaux plats, augmente la prise au vent et le risque de chavirage.
Une hypocrisie totale : L'État, responsable de la pollution des parcs à huîtres via ses stations d'épuration (norovirus), préfère accuser la victime plutôt que de moderniser ses propres infrastructures.
Cette "mort par la norme" n'est pas un accident. C'est une guerre d'usure conçue pour décourager les petits producteurs et laisser le champ libre aux géants de l'aquaculture industrielle.
C'est une attaque directe contre nos paysans de la mer, notre savoir-faire et la qualité de nos huîtres.
Soutenez nos artisans et partagez cette vidéo pour exposer le scandale ! Pensez-vous que c'est une mesure de sécurité ou un plan de destruction ? Donnez votre avis dans les commentaires.
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#Ostréiculteur #Scandale #Huîtres #Colère #Artisan #MadeInFrance #Norme #Administration #UnionEuropéenne #Enquête
Dans cette vidéo, nous plongeons dans l'absurdité administrative qui frappe la conchyliculture française. L'administration exige désormais des toilettes et lavabos sur des chalands de moins de 10 mètres, des bateaux de travail plats, ouverts aux éléments, qui ne sortent que quelques heures.
Derrière le prétexte de "l'hygiène" et du "confort" (transposition d'une directive européenne), se cache une réalité mortelle :
Un coût exorbitant : Jusqu'à 15 000 € par bateau, un coup de fusil pour des artisans déjà fragilisés.
Un danger mortel : L'ajout d'une cabine déséquilibre ces bateaux plats, augmente la prise au vent et le risque de chavirage.
Une hypocrisie totale : L'État, responsable de la pollution des parcs à huîtres via ses stations d'épuration (norovirus), préfère accuser la victime plutôt que de moderniser ses propres infrastructures.
Cette "mort par la norme" n'est pas un accident. C'est une guerre d'usure conçue pour décourager les petits producteurs et laisser le champ libre aux géants de l'aquaculture industrielle.
C'est une attaque directe contre nos paysans de la mer, notre savoir-faire et la qualité de nos huîtres.
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Le Népal a montré la marche à suivre pour tous les peuples souverains. Passer le karcher-lance-flammes est la seule façon de nettoyer les instances et institutions envahis par des corrompus illégaux, des pédocriminels et des tueurs en série. L'Indonésie, le Perou, Madagascar ont adopté cette methode d'assainissement super efficace. Tôt ou tard les peuples souverains de l'UE. seront contraints de choisir l'efficacité.
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